J'ai essayé de résister, mais je n'y suis pas arrivée, mais bon, on ne peut pas tout réussir.
J'ai lâché, je me suis lâchée, mais en fin de compte, je ne regrette pas...
Ce petit moment ou il ne s'est rien passé m'a fait prendre du recul sur lui, sur "nous". Et maintenant je vis mieux notre relation. Je savoure plus ces "moments à deux". Et quand il n'est pas là, je ne pense pas spécialement à lui et il ne me manque pas. Objectif réussi, j'ai remis notre relation à a place où elle devait être et surtout... J'ai fait le point dans ma tête. Et je me sens mieux... Même si je ne le comprends toujour pas, et ça fait du bien =)!
Ton regard comme une caresse
Je me sens si bien
Puis tes yeux s'envolent et me laissent
Et je n'ai plus rien
Qu'un reflet de toi
Tu es loin déjà
Je ne connais pas
Tous les secrets de ton coeur
Mais je viens quand même, tu vis
Quelque part entre douleur et douceur
Mais je viens quand même
Je te suis quand même
Tu m'entoures comme un drap de soie
Je me sens si bien
Puis je perds l'écrin de tes bras
Et je n'ai plus rien
Tu t'en vas là-bas
Tu es loin de moi
Je ne connais pas
Tous les secrets de ton coeur
Mais je viens quand même, tu vis
Quelque part entre douleur et douceur
Mais je viens quand même
Je te suis quand même
an0nym0usss
an0nym0usss
Vendredi 14 août 2009 à 12:55
Mardi 12 mai 2009 à 0:18
Il y a des jours comme ça, tout vas mal. Là, je pleure. Je pleure, je me sens seule, abandonée. Je pleure de na pas pouvoir être aimée. Je pleure de na pas avoir un homme, un vrai, un qui n'a pas de copine, un qui me rassure, un qui m'apaise.
Pas un qui me détruit, pas un qui me précipite au fond du gouffre. Je suis pitoyable assise là, sur le quai de la gare, lâchement abandonée, les cehveux ébouriffés, mes yeux bouffis d'avoir pleuré et mon papier mouiller par les perles de mes yeux...
Je crois qu'il ne s'aperçoit pas du mal qu'il me fait, pas un mal physique, non ce serait trop simple ! Une douleur sourde... juste là... Au niveau de ma poitrine gauche... Juste là... Un couteau, planté en plein dans mon coeur. Une couteau qui ne veut pas partir.
Un couteau en plein coeur, ça fait mal.
Cette douleur est la pire, elle est morale.
Je suis au fond du gouffre.
Je souffre
Pas un qui me détruit, pas un qui me précipite au fond du gouffre. Je suis pitoyable assise là, sur le quai de la gare, lâchement abandonée, les cehveux ébouriffés, mes yeux bouffis d'avoir pleuré et mon papier mouiller par les perles de mes yeux...
Je crois qu'il ne s'aperçoit pas du mal qu'il me fait, pas un mal physique, non ce serait trop simple ! Une douleur sourde... juste là... Au niveau de ma poitrine gauche... Juste là... Un couteau, planté en plein dans mon coeur. Une couteau qui ne veut pas partir.
Un couteau en plein coeur, ça fait mal.
Cette douleur est la pire, elle est morale.
Je suis au fond du gouffre.
Je souffre