"Il faut toujours y croire, jamais perdre espoir, le bonheur revient toujours."
A méditer
"Intimité. Un mσt en huit lettres qui veut dire : "Vσici mσn cœur et mσn âme, tu peux les mettre en pièces si tu veux.. "
A méditer
an0nym0usss
an0nym0usss
Mardi 24 novembre 2009 à 16:17
Rapelles-toi de ces belles paroles,
qu'on repètaient en boucles
dans lesquelles nous
nous envolions loin, très loin.
Sais-tu qu'on ne ferme jamais un livre
qui n'est pas terminé ?
Fixes-moi, défies-moi du regard un peu,
ose comparer tes efforts aux miens.
Parles mais bon sang, parle-moi.
De toi..., et de nous.
Ne me fuis plus quand je te cherche.
Essaie de comprendre ma peine.
Dis-moi que oui,
tu regrettes tes faits & geste envers moi
parce que cette fois, je ne reviendrais pas.
ose comparer tes efforts aux miens.
Parles mais bon sang, parle-moi.
De toi..., et de nous.
Ne me fuis plus quand je te cherche.
Essaie de comprendre ma peine.
Dis-moi que oui,
tu regrettes tes faits & geste envers moi
parce que cette fois, je ne reviendrais pas.
Reste toi-même.
N'utilises plus ces
mots menteurs et courts
pour me parler,
je veux seulement
la simple vérité.
Tu le sais bien
ce que c'est,
ça me fait mal.
Ton air innocent
m' énerve tellement,
ton surplus de fierté
me fais encore rager.
Je ne trouve pas la force
de t'en vouloir
& ni de revenir vers toi
mais il m'est d'ailleurs
impossible de décrocher
ses souvenirs,
ses paroles qui
nous appartenais,
que seuls nous comprenions...
N'utilises plus ces
mots menteurs et courts
pour me parler,
je veux seulement
la simple vérité.
Tu le sais bien
ce que c'est,
ça me fait mal.
Ton air innocent
m' énerve tellement,
ton surplus de fierté
me fais encore rager.
Je ne trouve pas la force
de t'en vouloir
& ni de revenir vers toi
mais il m'est d'ailleurs
impossible de décrocher
ses souvenirs,
ses paroles qui
nous appartenais,
que seuls nous comprenions...
"Je hais ta façon de me parler.
Et la couleur de tes cheveux.
Je hais ta façon de conduire.
Et de me regarder dans les yeux.
Je hais tes stupides bottes d’armée.
Et ce que t...u devines en moi.
Je te hais au point d’en crever.
Et même de te tuer parfois.
Je hais ta façon d’avoir raison.
Tes histoires inventées.
Je te hais quand tu me fais rire.
D’avantage quand tu me fais pleurer.
Je te hais quand tu n’es pas là
et que tu es dieu sait où.
Mais je hais surtout
de ne pas te haïr.
Ni un seul instant.
Ni une seule minute.
Ni même du tout."
(10 bonnes raisons de te larguer)
Et la couleur de tes cheveux.
Je hais ta façon de conduire.
Et de me regarder dans les yeux.
Je hais tes stupides bottes d’armée.
Et ce que t...u devines en moi.
Je te hais au point d’en crever.
Et même de te tuer parfois.
Je hais ta façon d’avoir raison.
Tes histoires inventées.
Je te hais quand tu me fais rire.
D’avantage quand tu me fais pleurer.
Je te hais quand tu n’es pas là
et que tu es dieu sait où.
Mais je hais surtout
de ne pas te haïr.
Ni un seul instant.
Ni une seule minute.
Ni même du tout."
(10 bonnes raisons de te larguer)
Mardi 10 novembre 2009 à 0:13
On s'est rencontrés au détour d'un chemin. J'ai vécu, je t'ai vu pendant un an, sans jamais te voir vraiment. Car on ne s'était pas vraiment rencontrés. Juste croisés. La vrai rencontre a eu lieu l'année dernière en septembre. Je t'ai vu deux fois par semaines pendant un mois, on a échangé, on a appris l'un de l'autre comme je n'avais jamais appris. On a échangé tellement que je me sentais entière rien qu'avec toi. Et depuis ? Depuis je ne t'ai pas quittée, toujours fidèle à nous, nos coups de gueules, nos moments où nous sommes unis que nous ne faisons qu'un. Les moments où on est pas d'accord, où on se bat. Et tu deviens plus fort que moi. Je ne force pas, car je sais que tu me battras par la force. Moi je te donne tout ce que je peux, mon amour, et si tu savais comme je vois que tu es reconnaissant, tu ne peux me le dire, tu ne peux que me le montrer, mais ça suffit.
Quand je t'ai vu en arrivant, si abattu, si fatigué, si mal en point. J'ai eu mal à en crever, j'ai cru qu'un poignard me perçait le coeur, de l'intérieur. J'ai su tout de suite que c'était lui, lui qui t'avais fait ça. Lui que j'ai désirer, à qui j'ai tant donner aussi, sans qu'il le voit.
J'ai crié, tellement j'ai eu mal. J'ai pleuré, tellement j'ai eu peur. Mon coeur s'est serré dans ma poitrine comme si un fil l'empêchait de battre. Je ne t'avais jamais vu dans un tel état. Tu m'as fait de la peine. Toi, mon bébé, il a osé toucher à mon bébé. Je lui en veux. Je ne sais pas si je pourrais lui pardonner. Il lui a manquer de respect, il m'a manqué de respect. Vu tout ce que j'ai fait pour lui. Et tout le mal que je me donne à garder mon bébé en forme. Je le déteste. Il va en entendre parler !
On ne blesse pas un cheval, un animal. Un symbole d'amitié, d'amour aussi fort que ça. Il l'a blessé, aux éperons, ce cheval que je n'avais jamais vu blesser depuis 3ans que je le connais. Blesser par un Homme à qui j'ai donné tant il y a quelques temps. Il me dégoute, je me dégoute d'avoir pu aimer un Homme capable de faire ça. Ce n'est pas mon cheval, mais c'est tout comme. Je paye pas une fortune pour stresser dès que je ne suis pas près de lui car je ne peux pas faire confiance à cet homme...
L'amour rend aveugle, je ne dirais pas le contraire...
Je t'aime dadou <3
"Dans toutes les larmes s'attarde un espoir" Simone de beauvoir
Mercredi 4 novembre 2009 à 22:26
Mon coeur est une salade de fruits... Coupés en petits morceaux...
Pourquoi cette expression m'est-elle venue à l'idée?
Aucune idée...
Chaque fruit représente une histoire, une aventure, qui on effrité peu à peu mon coeur.
J : Une pomme, fruit défendu dans la religion, symbole de la tentation, de l'interdit... C'était mon fruit défendu à moi, ma dépendance à moi...
Pourquoi cette expression m'est-elle venue à l'idée?
Aucune idée...
Chaque fruit représente une histoire, une aventure, qui on effrité peu à peu mon coeur.
J : Une pomme, fruit défendu dans la religion, symbole de la tentation, de l'interdit... C'était mon fruit défendu à moi, ma dépendance à moi...
P : Une cerise, fruit délicieux, qui se mange en une bouchée, mais il en reste le pépin.
J : Un melon, juteux et savoureux, qui représente l'été, la période qu'a duré notre histoire...
D : une groseille, le fruit ajouté par erreur !
A : une pêche, un fruit juteux, qu'on mange progressivement, au début un peu amère, puis qu'on apprends à apprécier avec le temps...
M : Une framboise, explosions de saveurs dans la bouche, qu'on avale en une bouchée, mais qu'on en peut s'empêcher de remanger.
C : Le fruit de la passion, un fruit qu'on regrette d'voir fini, mais qu'on a aimé manger. Une saveur inimitable, toujours dans la bouche malgré les années, un souvenir. On a beau avoir mangé l'intérieur, mais l'extérieur garde toujours son odeur...
De la plus récente à la plus ancienne (qui m'ont marquées). En voici le résumé.
Mon coeur est une salade de fruits... Coupés en petits morceaux...