Je le HAIS! Lui et tout ce qui se rapporte à LUI! En fait non, mais on va dire que ce soir, oui je le hais!
Il a un flair incroyable! Je voualsi évacuer toute cette frustration, tout ce que je ressens en ce moment, il a tout gacher, une fois de plus, il me soule!
Il m'a dit qu'il passerais surement, puis 3h plus tard peut être, puis deux heures plus tard cété non...
RESULTAT : j'ai pas vu l'autre mec aujourd'hui parce que je l'ai attendu!
J'en ai marre, je pète un cable!
je n'ai même pas envie d'écrire. Ce que je ressens est indescriptible, je ne suis pas à lui, je ne suis pas sa chose, et ça, il va le comprendre, malgré lui! Il a pas à me traiter comme ça! Soit il vient, soit il vient pas, mais qu'il ne me dise pas qu'il vienne alors que finalement non. Je ne peux pas décrire totu ce que je ressens, cette haine, ce sentiment d'être menée en bateau, ce sentiment de ne pas pouvoir en sortir, et surtou, l'amour passionnel, celui qu'il faut consommé sinon on en souffre des années et des années après.
Mais je souffre déjà... La vie aurait sûrement été dix fois plsu simple si je ne l'avais pas rencontré. Mais voilà j'aime le compliqué.
Malgré tout...
Horrible!
an0nym0usss
an0nym0usss
Dimanche 10 mai 2009 à 22:57
Dimanche 10 mai 2009 à 1:07
Ayez le courage de lire, jusqu'au bout!
"La passion est un ouragan, quelque chose de sublime qui précipite le désastre. C'est une histoire qui se termine toujours mal. Voilà ce qu’a avancé l’un des plus grands penseurs de notre ère. Nous devons avouer, que se cache une douloureuse vérité derrière ce propos, une lancinante et amère réalité…
C’est une fièvre de l’esprit qui nous laisse toujours affaiblit, un sentiment qui mêle habilement exaltation, espoir et désir … qui allie judicieusement incompréhension, douleur et désillusion.
C’est une chose qui s’impose brutalement, soudainement, une force qui ne se soumet à rien au contraire. On essaye de l’ignorer, de la contourner, de la fuir…en vain. On est irrésistiblement envoûté par ses voluptueux attraits. On est vite attiré par cet interdit qu’elle jette sur le plaisir. C’est un feu ravageur qui se consume lorsqu’il n’y a plus rien à brûler… Et son cœur fut en cendre. Vous l’avez bien compris, elle a été prise dans cet engrenage fatal, mais en étant consciente du danger qui frappait à sa porte. L’insouciance… N’est-ce pas le propre des passionnés? Suivre aveuglement ce que le cœur nous dicte, ne pas prêter attention aux échos de la raison, qui lutte à contre courant pour nous éviter le pire. Elle a été sourde à tous ses appels, et ses remords n’y changèrent malheureusement rien. Il faut préciser qu’elle ne regrettait pas son histoire en elle-même, non, elle regrettait juste la manière dont elle pris fin. Elle regrettait ce goût âpre et si désagréable de son dénouement. Oui, car toutes les passions prennent fin un jour ou l’autre. Elles ne sont qu’un passage marquant d’une existence, un tournant décisif, un épisode troublant qui vous laisse perplexe même après des années de réflexion.
Certains la rencontreront sur leur chemin, d’autres seront épargnés. Elle n’aurait su vous dire si elle vaut la peine d’être connue, si l’on en sort plus fort ou plus faible ; cela dépend de l’histoire de chacun. En ce qui la concernait, les meurtrissures qui lui furent infligées étaient si profondes que malgré l’amour qu’elle avait reçu, malgré tout le temps qui s’était écoulé, il lui restait quelques cicatrices. Des marques indélébiles de son passage dans sa vie, qui était alors d’une complaisante banalité, d’une insipide quiétude.
Il lui aura fallu sans cesse passer par toutes les étapes de la désillusion, se retrouver seule et toucher le fond de sa détresse, pour enfin se relever et accueillir la vie à bras ouverts. Le temps qu’elle avait passé tapis dans l’ombre de son désespoir lui avait fait oublié la sensation avenante des rayons du soleil sur sa peau, l’odeur délectable des boutons de roses, le goût savoureux du miel dans sa bouche. Toutes ces choses qui rendaient son quotidien si doucereux et agréable. Elle avait alors réappris à vivre, à sourire, à aimer.
Mais ses yeux, sa bouche, son odeur, la sensation de son corps contre le sien…elle revécu encore l’intensité de ces moments, entremêlant leur corps si harmonieusement dans un échange ardeur incontrôlable, croyant que de ces instants là dépendaient leur vie. Jamais elle ne remis en cause la magie de ces nuits sans fins, ni tout ces éclats qu’elle insufflait dans leur regard. Démystifier ce qui fit la beauté de leur histoire l’aurait davantage blessée que soulagée. "
texte magnifique écrit par un(e) inconnu(e).
Je tenais à le mettre, ici, tout simplement.
Il décris de manière simple ce que je vis, et décris la fin comme elle devra arriver. C'est une sorte de mise en garde... Pour moi!
"La passion est un ouragan, quelque chose de sublime qui précipite le désastre. C'est une histoire qui se termine toujours mal. Voilà ce qu’a avancé l’un des plus grands penseurs de notre ère. Nous devons avouer, que se cache une douloureuse vérité derrière ce propos, une lancinante et amère réalité…
C’est une fièvre de l’esprit qui nous laisse toujours affaiblit, un sentiment qui mêle habilement exaltation, espoir et désir … qui allie judicieusement incompréhension, douleur et désillusion.
C’est une chose qui s’impose brutalement, soudainement, une force qui ne se soumet à rien au contraire. On essaye de l’ignorer, de la contourner, de la fuir…en vain. On est irrésistiblement envoûté par ses voluptueux attraits. On est vite attiré par cet interdit qu’elle jette sur le plaisir. C’est un feu ravageur qui se consume lorsqu’il n’y a plus rien à brûler… Et son cœur fut en cendre. Vous l’avez bien compris, elle a été prise dans cet engrenage fatal, mais en étant consciente du danger qui frappait à sa porte. L’insouciance… N’est-ce pas le propre des passionnés? Suivre aveuglement ce que le cœur nous dicte, ne pas prêter attention aux échos de la raison, qui lutte à contre courant pour nous éviter le pire. Elle a été sourde à tous ses appels, et ses remords n’y changèrent malheureusement rien. Il faut préciser qu’elle ne regrettait pas son histoire en elle-même, non, elle regrettait juste la manière dont elle pris fin. Elle regrettait ce goût âpre et si désagréable de son dénouement. Oui, car toutes les passions prennent fin un jour ou l’autre. Elles ne sont qu’un passage marquant d’une existence, un tournant décisif, un épisode troublant qui vous laisse perplexe même après des années de réflexion.
Certains la rencontreront sur leur chemin, d’autres seront épargnés. Elle n’aurait su vous dire si elle vaut la peine d’être connue, si l’on en sort plus fort ou plus faible ; cela dépend de l’histoire de chacun. En ce qui la concernait, les meurtrissures qui lui furent infligées étaient si profondes que malgré l’amour qu’elle avait reçu, malgré tout le temps qui s’était écoulé, il lui restait quelques cicatrices. Des marques indélébiles de son passage dans sa vie, qui était alors d’une complaisante banalité, d’une insipide quiétude.
Il lui aura fallu sans cesse passer par toutes les étapes de la désillusion, se retrouver seule et toucher le fond de sa détresse, pour enfin se relever et accueillir la vie à bras ouverts. Le temps qu’elle avait passé tapis dans l’ombre de son désespoir lui avait fait oublié la sensation avenante des rayons du soleil sur sa peau, l’odeur délectable des boutons de roses, le goût savoureux du miel dans sa bouche. Toutes ces choses qui rendaient son quotidien si doucereux et agréable. Elle avait alors réappris à vivre, à sourire, à aimer.
Mais ses yeux, sa bouche, son odeur, la sensation de son corps contre le sien…elle revécu encore l’intensité de ces moments, entremêlant leur corps si harmonieusement dans un échange ardeur incontrôlable, croyant que de ces instants là dépendaient leur vie. Jamais elle ne remis en cause la magie de ces nuits sans fins, ni tout ces éclats qu’elle insufflait dans leur regard. Démystifier ce qui fit la beauté de leur histoire l’aurait davantage blessée que soulagée. "
texte magnifique écrit par un(e) inconnu(e).
Je tenais à le mettre, ici, tout simplement.
Il décris de manière simple ce que je vis, et décris la fin comme elle devra arriver. C'est une sorte de mise en garde... Pour moi!
Samedi 9 mai 2009 à 21:31
Est-ce vraiment mal ce que je me prépare à faire?
Est-ce vraiment contre lui que je fais ça?
J'ai besoin... Besoin de quoi?
J'ai besoin d'évacuer tout ce désire qui harpente mes veines, j'ai besoin d'évacuer toute cette frustration qui me détruit, j'ai besoin d'oublier un peu tout l'amour que je lui porte. Juste une heure, une heure ou j'évacuerais tout, une heure de bonheur. Je sais qu'il ne faudrait pas. Je sais que ej ne devrais aps... Je sais qu'il va mal le prendre, je sais que ça risque de nous faire tout arrêter. Mais voilà, presque 2semaines sans le toucher, 2 semaines ou on arrive pas à être seuls... J'ai envie de lui à tel point que ça me fait mal. A tel point que j'ai envie de lui sauter dessus quand il me sourit avec osn petit sourire qui veut tout dire. J'ai envie de lui, tout simplement. Mais voilà, je vis ocntinuellement dans le doute, le doute de savoir si il sera libre ce soir, le doute de le voir un jour me quitter. Je suis complètement sous son emprise, et je ne veux pas de ça. Amoureuse, peut être, soumise, JAMAIS!
Je veux qu'il s'aperçoive que je ne suis pas totalement à lui. Qu'il y a de la concurrence et que je peux aller voir ailleurs, comme lui! Je veux qu'il comprenne que je ne suis pas acquise, et qu'il faut me conquérir un peu plus de jour en jour, ça va peut être lui faire bouger son cul!
Peut être que je vais me ramasser, peut être qu'il s'apercevra qu'il ne veut plus de moi, mais tant pi. Au moins, j'aurais essayé.
Eh oui, tout ça pour dire que je vais coucher avec un autre. Pas parce que je ne l'aime plus. Parce que je l'aime trop... Joli paradoxe.
Pour lui, tout simplement
Est-ce vraiment contre lui que je fais ça?
J'ai besoin... Besoin de quoi?
J'ai besoin d'évacuer tout ce désire qui harpente mes veines, j'ai besoin d'évacuer toute cette frustration qui me détruit, j'ai besoin d'oublier un peu tout l'amour que je lui porte. Juste une heure, une heure ou j'évacuerais tout, une heure de bonheur. Je sais qu'il ne faudrait pas. Je sais que ej ne devrais aps... Je sais qu'il va mal le prendre, je sais que ça risque de nous faire tout arrêter. Mais voilà, presque 2semaines sans le toucher, 2 semaines ou on arrive pas à être seuls... J'ai envie de lui à tel point que ça me fait mal. A tel point que j'ai envie de lui sauter dessus quand il me sourit avec osn petit sourire qui veut tout dire. J'ai envie de lui, tout simplement. Mais voilà, je vis ocntinuellement dans le doute, le doute de savoir si il sera libre ce soir, le doute de le voir un jour me quitter. Je suis complètement sous son emprise, et je ne veux pas de ça. Amoureuse, peut être, soumise, JAMAIS!
Je veux qu'il s'aperçoive que je ne suis pas totalement à lui. Qu'il y a de la concurrence et que je peux aller voir ailleurs, comme lui! Je veux qu'il comprenne que je ne suis pas acquise, et qu'il faut me conquérir un peu plus de jour en jour, ça va peut être lui faire bouger son cul!
Peut être que je vais me ramasser, peut être qu'il s'apercevra qu'il ne veut plus de moi, mais tant pi. Au moins, j'aurais essayé.
Eh oui, tout ça pour dire que je vais coucher avec un autre. Pas parce que je ne l'aime plus. Parce que je l'aime trop... Joli paradoxe.
Pour lui, tout simplement
Samedi 2 mai 2009 à 23:38
Il n'est pas parti, et il ne partira pas de si tôt. Je suis la maîtresse, un maîtresse qu'il apprécie de plus en plus, à laquelle il s'attache... Je ne le comprends pas tout le temps, il fait des projets pour juillet, il fait une tête bizarre quand je dis de partir 3mois à Toulouse l'an prochain. Moi je ne vois pas aussi loin que lui je vis dans le présent, dans l'espoir que demain il voudrat toujours de moi. Je ne pense pas à ce que nous pourrions être dans un an... Et lui il est dégouté que je parte trois mois à toulouse l'an prochain... Si il savait les projets que j'ai. Je veux visiter, partir loin, faire un peu la nomade. Mais lui, lui, il a une copine, et il ne se voit pas sans moi.... Je ne le comprends toujours pas...
Mais je crois que je l'aime...
Il faudrait que je fuis, que j'aille loin, très loin...
Mais je n'ai pas envie...
J'ai envie de vivre, ma vie, à fond!
Mais je crois que je l'aime...
Il faudrait que je fuis, que j'aille loin, très loin...
Mais je n'ai pas envie...
J'ai envie de vivre, ma vie, à fond!
Vendredi 1er mai 2009 à 12:34
Je ne me suis tout simplement jamais sentie aussi seule délaissée abandonnée. Je paye sûrement toutes les erreurs que j'ai faites. Samedi soir, j'ai pleuré en me revoyant moi, assise avec eux, les regardant parler, échanger, ne me sentant plus admise parmi eux, sentant qu je n'avais plus ma place au milieu d'eux... Dimanche, elle qui me pourrit la vie s'est amusée à rester bien bien longtemps! A cause d'elle je n'ai pas pu le voir... Et ma chute... Bref, et ma mono insuportable avec moi... Mardi, LA pute qui s'amuse à me ridiculiser devant tout le monde, heureusement, elle est partie en week end. J'ai eu peur de le perdre, j'ai pleuré. Jeudi, La cerise je crois... C qui appel M et qui lui dit ouais jss avec (ct moi la personne), on vient te chercher, et que j'ai entendu "oh putain fais chier pas elle", à l'appareil, sa fé pas plaisir... En plus elle a fait comme si elle était contente de me voir après, belle hypocrite. Après on est allé prendre un café toutes les 3, j'étais au bord des larmes, je ne parlais pas, pk sinn j'allais exploser, pour la première fois de ma vie, devant public. Et ça, jamais joré fait ça. J'ai donc trouver une excuse pour partir, pour les fuirs. Et après A est arrivé, j'étais super contente de le voir ak sa soeur, mais je savais que si je parlais trop avec lui, sa copine M m'en voudrait à mort, déjà qu'elle me déteste...
Mais voilà jlui ai demandé si sa avait été avec l'autre et il ma rep "non ct horrible, o moins kan tété en vacances il été sympa avec moi". Putain A ! Ya d gens kil fo pas kil sache et toi tu balance sa comme sa! g rep "bah jy peux rien" et ds ma tête jme suis dit (d'1 c mimi, pk l'autre il est jaloux de A), et de 2 "ouais en gros ils étaient tous mieux kan j'étais pas là...". Je vous dit pas dans quel état j'était hier soir, et ce matin... A quoi ça sert de donner si le retour, c'est ça... Je ne suis pas parfaite, je dis souvent des choses blessantes sans le vouloir, mais un truc est sûr je suis j'étais et je resterais toujours celle qui est dans l'ombre, sur la touche, celle qu'on ne montre pas... Avec les mecs comme avec mes amis, c'est pareil, je suis jamais "celle là!" je suis toujours "l'autre". Toujours dans l'ombre de quelqu'un...